Assurance maternité

Depuis le 1er juillet 2005, la Suisse dispose d’une assurance maternité. Cette assurance a été adoptée par le peuple lors de la votation populaire du 26 septembre 2006 sur la modification du régime des allocations pour perte de gain. Depuis lors, les travailleuses indépendantes et les femmes salariées ont droit à une allocation pour perte de gain au moment de la naissance de leur enfant.

L’allocation de maternité est inscrite dans Loi fédérale sur les allocations pour perte de gain en cas de service et de maternité (en particulier LAPG, art. 16b).

La mère reçoit 80 % de la rémunération qu’elle touchait en moyenne avant la naissance de l’enfant. L’indemnité journalière maximale s’élève à 172 CHF ou 5 160 CHF par mois. L’indemnité commence le jour de la naissance de l’enfant et dure au maximum 14 semaines. Si la femme reprend son emploi, l’indemnité financière s’arrête. L’indemnité de maternité peut être réclamée jusqu’à cinq ans après la fin de la période d’indemnisation. Les employées doivent la réclamer auprès de leur employeur et les travailleuses indépendantes doivent le demander directement auprès de la caisse de compensation AVS.

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  1. Votations
Dans les cantons de montagne, des moutons ont été dévorés à plusieurs reprises par des loups ces dernières années, ce qui a soulevé des questions sur la biodiversité et la coexistence paci-fique entre les hommes et les animaux. Celles-ci provoquent souvent un clivage entre les cantons de montagne concernés et le Plateau central. Un loup dans la vieille ville de Soleure, d’Aarau ou de Berne ferait presque certainement sensation. Il est donc crucial de clarifier la compétence des cantons dans la régulation des populations, c’est pourquoi une révision partielle a d’abord été discutée.
  1. Votations
Les forces aériennes suisses disposent actuellement de 56 avions de combat. Il s’agit d’ici, plus précisément, de 30 F/A-18 C/D Hornet, qui ont été acquis en 1997. Les 26 F-5 E/F Tiger, qui font partie de la flotte aérienne depuis 1978, sont obsolètes, car ils ne sont que d’un usage limité. Actuellement, tous les 56 avions de combat sont en service pour trois missions principales, la garantie de la souveraineté de l’espace aérien suisse, un service de transport aérien, ainsi que pour observer le trafic aérien quotidien. Avec la fin de leur durée d’utilisation en 2030, l’achat de nouveaux avions de combats ainsi qu’une modernisation du système de défense sol-air ont été décidés au parlement en décembre 2019.

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