Impôt régressif

Dans un système d’impôt régressif, le pourcentage prélevé diminue avec l’augmentation du revenu.

Le tableau ci-dessous offre une comparaison entre l’impôt régressif, l’impôt proportionnel (où tout le monde paie la même part en pourcentage) et l’impôt progressif (les personnes à revenu élevé paient une part de leur revenu en pourcentage plus importante) :

Un système fiscal régressif a l’avantage de permettre aux plus petits cantons d’attirer aussi des contribuables riches. Malgré qu’ils soient soumis à un pourcentage plus faible, ils paient tout de même des montants élevés aux impôts, ce qui profite à tous les habitants du canton.
L’impôt régressif est critiqué, car il viole le principe de la capacité contributive. Celui-ci sous-entend que des personnes ayant le même revenu devraient être imposées de façon égale, que celles ayant un revenu plus élevé devraient être imposées plus lourdement et que celles ayant un revenu plus faible devraient être imposées plus légèrement.

En Suisse, lorsque le canton d’Obwald a voulu l’introduire, le système fiscal régressif a été jugé inconstitutionnel par le Tribunal fédéral.

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Dans les cantons de montagne, des moutons ont été dévorés à plusieurs reprises par des loups ces dernières années, ce qui a soulevé des questions sur la biodiversité et la coexistence paci-fique entre les hommes et les animaux. Celles-ci provoquent souvent un clivage entre les cantons de montagne concernés et le Plateau central. Un loup dans la vieille ville de Soleure, d’Aarau ou de Berne ferait presque certainement sensation. Il est donc crucial de clarifier la compétence des cantons dans la régulation des populations, c’est pourquoi une révision partielle a d’abord été discutée.
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Les forces aériennes suisses disposent actuellement de 56 avions de combat. Il s’agit d’ici, plus précisément, de 30 F/A-18 C/D Hornet, qui ont été acquis en 1997. Les 26 F-5 E/F Tiger, qui font partie de la flotte aérienne depuis 1978, sont obsolètes, car ils ne sont que d’un usage limité. Actuellement, tous les 56 avions de combat sont en service pour trois missions principales, la garantie de la souveraineté de l’espace aérien suisse, un service de transport aérien, ainsi que pour observer le trafic aérien quotidien. Avec la fin de leur durée d’utilisation en 2030, l’achat de nouveaux avions de combats ainsi qu’une modernisation du système de défense sol-air ont été décidés au parlement en décembre 2019.

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