Taux de chômage

Le taux de chômage est le pourcentage de chômeurs déclarés dans la population active d’une économie nationale.

On appelle population active les personnes âgées de 15 à 65 ans qui sont capables de travailler et qui veulent le faire. La population active peut être divisée entre les chômeurs et les travailleurs. Elle représente donc l’offre nationale de travail, c’est-à-dire l’ensemble des personnes potentiellement en mesure de travailler. Les étudiants (sauf ceux qui ont un emploi à temps partiel) et les retraités ne font donc pas partie de la population active, puisque les premiers ne veulent pas travailler (mais étudier) et que les seconds ne font plus partie de la tranche d’âge concernée. La figure ci-dessous illustre ce qui précède.

La proportion de la population active dans la population totale s’appelle le taux d’activité. Il permet de déterminer le pourcentage de la population totale qui travaillerait en situation théorique de plein emploi (qui correspond à un taux de chômage de 0 %).

L’Office fédéral de la statistique (OFS) recense les personnes qui sont inscrites dans les offices de placement, n’ont pas d’emploi et peuvent être placées immédiatement. Les personnes en fin de droits qui ne perçoivent plus d’indemnités de chômage et qui ne sont pas inscrites pour être placés ne sont pas incluses.

Le taux de chômage en Suisse se situe entre 1 % et 6 % depuis 1995. En janvier 2016, il était de 3,8 %. La figure ci-dessous présente une comparaison des données au niveau international.

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Dans les cantons de montagne, des moutons ont été dévorés à plusieurs reprises par des loups ces dernières années, ce qui a soulevé des questions sur la biodiversité et la coexistence paci-fique entre les hommes et les animaux. Celles-ci provoquent souvent un clivage entre les cantons de montagne concernés et le Plateau central. Un loup dans la vieille ville de Soleure, d’Aarau ou de Berne ferait presque certainement sensation. Il est donc crucial de clarifier la compétence des cantons dans la régulation des populations, c’est pourquoi une révision partielle a d’abord été discutée.
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Les forces aériennes suisses disposent actuellement de 56 avions de combat. Il s’agit d’ici, plus précisément, de 30 F/A-18 C/D Hornet, qui ont été acquis en 1997. Les 26 F-5 E/F Tiger, qui font partie de la flotte aérienne depuis 1978, sont obsolètes, car ils ne sont que d’un usage limité. Actuellement, tous les 56 avions de combat sont en service pour trois missions principales, la garantie de la souveraineté de l’espace aérien suisse, un service de transport aérien, ainsi que pour observer le trafic aérien quotidien. Avec la fin de leur durée d’utilisation en 2030, l’achat de nouveaux avions de combats ainsi qu’une modernisation du système de défense sol-air ont été décidés au parlement en décembre 2019.

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