Un salaire ne suffit plus à une famille pour vivre. Autrement dit, avoir des enfants en Suisse est un facteur de pauvreté! Le cas des familles monoparentales est évident dans ce sens. De plus l’augmentation des salaires ne correspond de loin pas aux augmentations à l’augmentations des coûts de la vie, en particulier des primes d’assurances maladies chaque année. Mais le facteur aggravant est celui des modes de gardes des enfants alors que les parents doivent impérativement travailler les deux: Les coûts engendrés pour les familles sont énormes. Dans l’idée de ne pas tout attendre de l’Etat, pourquoi ne parlerait-on pas de la responsabilité sociale de nos entreprises? Elles devraient clairement être impliquées dans la subventions des crèches et des associations d’accueil familial de jour. Le PEV se bat pour qu’avoir des enfants ne soit plus un facteur d’appauvrissement dans notre pays.
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