Sécurité à Lausanne, un prof neuchâtelois mandaté pour évaluer le “sentiment d’insécurité”
En ce qui me concerne, parler de “sentiment d’insécurité” est un déni de réalité !
Cette “évaluation”, présentée comme une “expérience” est budgétisée à 1,5 millions de francs sur deux ans.
Pour faire court, des “expériences” de ce type existent déjà. Je retiendrai celle de Scottland Yard, qui incluait également la vidéo surveillance (la bonne à tout faire des bisounours bobos).
Les experts britanniques concluèrent qu’il aurait mieux valu engager plus de policiers pour patrouiller dans les rues plutôt que d’investir dans des moyens qui n’ont que fait déplacer le problème…d’autant plus que la vidéo surveillance n’a permis de résoudre que 3% des délits !
Bien sûr les développement actuel vont plus loin et permettent via des logiciel d’analyses comportementales. Toutefois, pour les fans de science fiction on en arriverait à une société de type “Minority Report”
Toutefois, sans être fermé aux innovations et n’étant pas un “criminologue universitaire” ou auto-didacte, je suis favorable à une plus grande présence sur le terrain par :
– une augmentation des effectifs de la police municipale,
– accroître les synergies police cantonale et municipales,
– alléger le travail administratifs des policier par l’engagement de personnel administratif
La présence physique et bien plus efficace, et cela est la réalité. Nous ne devons pas abandonner parcs, rues, quartier à tous les trafics illicites…cela devient des zones de non droit !
Le délinquant doit être persuadé que ses actes ne resteront pas sans suites…et la justice doit réaffirmer l’échelle de valeur des peines…
Nous serons présents lors des élections communales, alors à bientôt pour une réelle alternative identitaire, sociale et populaire !
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Kommentare anzeigen Hide comments6ème paragraphe….la 2ème ligne …logiciels d’analyses comportementales permettraient d’intervenir avant que le délit n’aie lieu…