Dividende (en français)

Un dividende est le versement des bénéfices d’une société anonyme à ses actionnaires.

La direction d’une entreprise avance la possibilité de verser des dividendes et pour quel montant lors d’une assemblée générale (ou assemblée des actionnaires) et la décision est prise par ces derniers. Il n’existe aucune obligation légale de reverser tout ou partie des bénéfices. L’entreprise a le choix de conserver son bénéfice et de l’investir, par exemple, dans de nouvelles machines ou de nouveaux bâtiments.
En Suisse, le dividende est généralement versé une fois par an. Aux États-Unis, les versements trimestriels sont courants.

On calcule le taux de rendement sur dividendes en divisant le dividende par le cours des actions. Ce taux indique le montant perçu par franc investi. En combinant le rendement sur dividendes à l’augmentation du cours des actions, on trouve le rendement total des actions ou des placements.

En Suisse, les dividendes sont soumis à l’impôt sur le revenu et à l’impôt anticipé.

En plus des dividendes en espèces, pour lesquels l’actionnaire reçoit des fonds, il en existe d’autres sous forme desquels n’importe quels actifs d’une société anonyme peuvent être versés. Il est courant pour les sociétés de verser des dividendes en nature sous forme d’actions d’une filiale et ainsi de s’en séparer (spin-off).

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Dans les cantons de montagne, des moutons ont été dévorés à plusieurs reprises par des loups ces dernières années, ce qui a soulevé des questions sur la biodiversité et la coexistence paci-fique entre les hommes et les animaux. Celles-ci provoquent souvent un clivage entre les cantons de montagne concernés et le Plateau central. Un loup dans la vieille ville de Soleure, d’Aarau ou de Berne ferait presque certainement sensation. Il est donc crucial de clarifier la compétence des cantons dans la régulation des populations, c’est pourquoi une révision partielle a d’abord été discutée.
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Les forces aériennes suisses disposent actuellement de 56 avions de combat. Il s’agit d’ici, plus précisément, de 30 F/A-18 C/D Hornet, qui ont été acquis en 1997. Les 26 F-5 E/F Tiger, qui font partie de la flotte aérienne depuis 1978, sont obsolètes, car ils ne sont que d’un usage limité. Actuellement, tous les 56 avions de combat sont en service pour trois missions principales, la garantie de la souveraineté de l’espace aérien suisse, un service de transport aérien, ainsi que pour observer le trafic aérien quotidien. Avec la fin de leur durée d’utilisation en 2030, l’achat de nouveaux avions de combats ainsi qu’une modernisation du système de défense sol-air ont été décidés au parlement en décembre 2019.

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