Secteur des services

Le secteur des services, qu’on appelle également le secteur tertiaire, désigne la partie de l’économie qui n’appartient pas aux secteurs primaire ou secondaire. Par services, on entend des prestations fournies qui ne sont pas tangibles et ne peuvent être stockés ou transportées. On regroupe tous les services fournis au sein d’une économie dans le secteur des services. Ce secteur comprend des sous-catégories comme le commerce, les transports, le tourisme, la gastronomie, les banques, les assurances et les pouvoirs publics. En Suisse, le secteur des services représente près de 75 % du produit intérieur brut.

Cette division de l’économie en trois secteurs est basée sur une théorie économique. La loi des trois secteurs prédit que la structure économique d’une économie nationale change à mesure qu’elle se développe. Dans une société encore peu développée, c’est principalement le secteur primaire (l’agriculture) qui emploie de la main-d’œuvre. Puis, avec le développement des machines et l’industrialisation, le nombre de travailleurs dans le secteur secondaire augmente. Enfin, sous le progrès de l’automatisation, le secteur tertiaire gagne en importance. Les économies nationales hautement développées ont pour caractéristique un secteur des services dominant. À l’inverse, leurs secteurs primaire et secondaire (l’agriculture et l’industrie) perdent de plus en plus d’importance.

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Dans les cantons de montagne, des moutons ont été dévorés à plusieurs reprises par des loups ces dernières années, ce qui a soulevé des questions sur la biodiversité et la coexistence paci-fique entre les hommes et les animaux. Celles-ci provoquent souvent un clivage entre les cantons de montagne concernés et le Plateau central. Un loup dans la vieille ville de Soleure, d’Aarau ou de Berne ferait presque certainement sensation. Il est donc crucial de clarifier la compétence des cantons dans la régulation des populations, c’est pourquoi une révision partielle a d’abord été discutée.
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Les forces aériennes suisses disposent actuellement de 56 avions de combat. Il s’agit d’ici, plus précisément, de 30 F/A-18 C/D Hornet, qui ont été acquis en 1997. Les 26 F-5 E/F Tiger, qui font partie de la flotte aérienne depuis 1978, sont obsolètes, car ils ne sont que d’un usage limité. Actuellement, tous les 56 avions de combat sont en service pour trois missions principales, la garantie de la souveraineté de l’espace aérien suisse, un service de transport aérien, ainsi que pour observer le trafic aérien quotidien. Avec la fin de leur durée d’utilisation en 2030, l’achat de nouveaux avions de combats ainsi qu’une modernisation du système de défense sol-air ont été décidés au parlement en décembre 2019.

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