Couverture par capital

La couverture par capital est une méthode de financement utilisée par les assurances et les institutions de prévoyance. Elle consiste à investir les primes de chacun sur le marché des capitaux, puis de les rembourser à la fin de la période d’assurance. De cette manière, chacun économise pour lui-même.

En Suisse, la prévoyance professionnelle (caisse de pension) ainsi que les fonds de prévoyance privés sont financés par capitalisation

La caisse de pension est divisée en deux sous-catégories qui se distinguent par le moment du versement des cotisations :
– Méthode des unités de crédit projetées : au cours de leur vie, les assurés versent des cotisations de manière répétée (primes ou montants forfaitaires), qui sont créditées sur un compte d’épargne comme chez une banque. Au moment du départ à la retraite, l’assuré peut soit toucher le montant exact qui se trouve sur le compte ou toucher une rente déterminée en fonction de ce montant.
– Méthode de couverture de rente : au cours de leur vie, les assurés paient uniquement des cotisations de risque en cas d’incapacité précoce (individualité, décès avec personnes à charge survivantes), mais pas pour la rente de vieillesse. Dans ce cas, le montant est versé en une seule fois au moment de percevoir la rente.

Contrairement à la couverture par capital, dans un système de financement par répartition les montants cotisés sont utilisés pour couvrir les rentes de tierces personnes.

Il existe une méthode hybride qui combine la couverture par capital et le financement par répartition, qu’on appelle le système de répartition des capitaux. Les prestations à court terme de l’assurance accident (frais médicaux, etc.), par exemple, sont financées au moyen du système par répartition. Toutefois, si les suites d’un accident exigent le versement d’une rente, celle-ci est calculée et versée selon le principe de la couverture par capital.

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Dans les cantons de montagne, des moutons ont été dévorés à plusieurs reprises par des loups ces dernières années, ce qui a soulevé des questions sur la biodiversité et la coexistence paci-fique entre les hommes et les animaux. Celles-ci provoquent souvent un clivage entre les cantons de montagne concernés et le Plateau central. Un loup dans la vieille ville de Soleure, d’Aarau ou de Berne ferait presque certainement sensation. Il est donc crucial de clarifier la compétence des cantons dans la régulation des populations, c’est pourquoi une révision partielle a d’abord été discutée.
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Les forces aériennes suisses disposent actuellement de 56 avions de combat. Il s’agit d’ici, plus précisément, de 30 F/A-18 C/D Hornet, qui ont été acquis en 1997. Les 26 F-5 E/F Tiger, qui font partie de la flotte aérienne depuis 1978, sont obsolètes, car ils ne sont que d’un usage limité. Actuellement, tous les 56 avions de combat sont en service pour trois missions principales, la garantie de la souveraineté de l’espace aérien suisse, un service de transport aérien, ainsi que pour observer le trafic aérien quotidien. Avec la fin de leur durée d’utilisation en 2030, l’achat de nouveaux avions de combats ainsi qu’une modernisation du système de défense sol-air ont été décidés au parlement en décembre 2019.

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