La couverture par capital est une méthode de financement utilisée par les assurances et les institutions de prévoyance. Elle consiste à investir les primes de chacun sur le marché des capitaux, puis de les rembourser à la fin de la période d’assurance. De cette manière, chacun économise pour lui-même.
En Suisse, la prévoyance professionnelle (caisse de pension) ainsi que les fonds de prévoyance privés sont financés par capitalisation
La caisse de pension est divisée en deux sous-catégories qui se distinguent par le moment du versement des cotisations :
– Méthode des unités de crédit projetées : au cours de leur vie, les assurés versent des cotisations de manière répétée (primes ou montants forfaitaires), qui sont créditées sur un compte d’épargne comme chez une banque. Au moment du départ à la retraite, l’assuré peut soit toucher le montant exact qui se trouve sur le compte ou toucher une rente déterminée en fonction de ce montant.
– Méthode de couverture de rente : au cours de leur vie, les assurés paient uniquement des cotisations de risque en cas d’incapacité précoce (individualité, décès avec personnes à charge survivantes), mais pas pour la rente de vieillesse. Dans ce cas, le montant est versé en une seule fois au moment de percevoir la rente.
Contrairement à la couverture par capital, dans un système de financement par répartition les montants cotisés sont utilisés pour couvrir les rentes de tierces personnes.
Il existe une méthode hybride qui combine la couverture par capital et le financement par répartition, qu’on appelle le système de répartition des capitaux. Les prestations à court terme de l’assurance accident (frais médicaux, etc.), par exemple, sont financées au moyen du système par répartition. Toutefois, si les suites d’un accident exigent le versement d’une rente, celle-ci est calculée et versée selon le principe de la couverture par capital.
G2 serait nécessaire, mais: Au moment, juridiquement, une obligation pour toute la population de se faire vacciner est exclue. La…