Economie fermée

Le terme économie fermée signifie qu’un État renonce à toute forme d’interaction économique avec d’autres économies présentes dans le monde.

Dans une économie fermée, aucun échange de biens, de services, de capitaux ou de main-d’œuvre avec d’autres pays ne peut donc avoir lieu. Par conséquent, il n’y a pas d’importations et d’exportations, ni d’investissements étrangers dans le pays ou d’investissements nationaux à l’étranger. Cela signifie qu’il s’agit d’une économie autonome (autosuffisante) qui produit elle-même tous les biens et services dont elle a besoin. Cette économie est donc complètement indépendante des autres pays.

Toutefois, à l’heure de la mondialisation et de la croissance des marchés internationaux, il ne peut pratiquement plus y avoir d’économies totalement fermées. Même les États qui tentent de limiter l’influence politique et culturelle de pays étrangers sont obligés commercer avec d’autres pays dans une certaine mesure, par exemple lors d’une pénurie de matières premières. Néanmoins, ces économies disposent de divers instruments de nature tarifaire (impôts, droits de douane, etc.) et non tarifaire (restrictions quantitatives d’importation, etc.) qui permettent de restreindre le commerce extérieur. On appelle l’application de telles restrictions commerciales le protectionnisme, car elles visent à protéger l’économie intérieure de la concurrence étrangère.

Le concept d’économie fermée est d’une grande importance en théorie économique. L’hypothèse d’une économie fermée permet aux macroéconomistes de simplifier leur analyse de certains problèmes économiques dans divers modèles théoriques. En pratique, cependant, seule l’ensemble de l’économie mondiale correspond aux critères d’une économie fermée.

On dit qu’une économie est fermée si elle renonce à toute forme d’interaction économique avec d’autres économies présentes dans le monde.

Dans une économie fermée, aucun échange de biens, de services, de capitaux ou de main-d’œuvre avec d’autres pays ne peut donc avoir lieu. Par conséquent, il n’y a pas d’importations et d’exportations, ni d’investissements étrangers dans le pays ou d’investissements nationaux à l’étranger. Cela signifie qu’il s’agit d’une économie autonome (autosuffisante) qui produit elle-même tous les biens et services dont elle a besoin. Cette économie est donc complètement indépendante des autres pays.

Toutefois, à l’heure de la mondialisation et de la croissance des marchés internationaux, il ne peut pratiquement plus y avoir d’économies totalement fermées. Même les États qui tentent de limiter l’influence politique et culturelle de pays étrangers sont obligés commercer avec d’autres pays dans une certaine mesure, par exemple lors d’une pénurie de matières premières. Néanmoins, ces économies disposent de divers instruments de nature tarifaire (impôts, droits de douane, etc.) et non tarifaire (restrictions quantitatives d’importation, etc.) qui permettent de restreindre le commerce extérieur. On appelle l’application de telles restrictions commerciales le protectionnisme, car elles visent à protéger l’économie intérieure de la concurrence étrangère.

Le concept d’économie fermée est d’une grande importance en théorie économique. L’hypothèse d’une économie fermée permet aux macroéconomistes de simplifier leur analyse de certains problèmes économiques dans divers modèles théoriques. En pratique, cependant, seule l’ensemble de l’économie mondiale correspond aux critères d’une économie fermée.

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