Redistribution

La redistribution est le résultat d’une mesure de politique sociale ou économique qui a pour but de répartir le revenu ou le capital disponible. Cependant, on utilise généralement ce terme en référence à la réduction des différences dans la répartition de la richesse. La forme de redistribution la plus connue est probablement l’impôt sur le revenu et l’impôt sur la fortune. En raison de leur capacité financière élevée, les personnes à haut revenu et les personnes riches versent à l’État des montants beaucoup plus élevés sous forme d’impôts que les personnes à faible revenu. De ce fait, les revenus disponibles diffèrent moins les uns des autres. On observe dans ce cas une redistribution des riches vers les pauvres.

Il existe de nombreux autres types de redistribution. Un exemple bien connu est celui des subventions : les personnes à faible revenu reçoivent des subsides à leur assurance maladie, alors que les personnes financièrement plus aisées doivent payer elles-mêmes la totalité de la prime. On trouve aussi la redistribution dite horizontale, en particulier dans le cas des fonds d’assurance sociale. Par exemple, il y a une redistribution des employés vers les chômeurs ou des personnes en bonne santé vers les malades.

La redistribution est un enjeu historique de politique sociale. On s’accorde généralement sur le principe qu’une redistribution doit avoir lieu des riches vers les pauvres. Les opinions divergent néanmoins quant à l’importance et à la nature de la redistribution.

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Dans les cantons de montagne, des moutons ont été dévorés à plusieurs reprises par des loups ces dernières années, ce qui a soulevé des questions sur la biodiversité et la coexistence paci-fique entre les hommes et les animaux. Celles-ci provoquent souvent un clivage entre les cantons de montagne concernés et le Plateau central. Un loup dans la vieille ville de Soleure, d’Aarau ou de Berne ferait presque certainement sensation. Il est donc crucial de clarifier la compétence des cantons dans la régulation des populations, c’est pourquoi une révision partielle a d’abord été discutée.
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Les forces aériennes suisses disposent actuellement de 56 avions de combat. Il s’agit d’ici, plus précisément, de 30 F/A-18 C/D Hornet, qui ont été acquis en 1997. Les 26 F-5 E/F Tiger, qui font partie de la flotte aérienne depuis 1978, sont obsolètes, car ils ne sont que d’un usage limité. Actuellement, tous les 56 avions de combat sont en service pour trois missions principales, la garantie de la souveraineté de l’espace aérien suisse, un service de transport aérien, ainsi que pour observer le trafic aérien quotidien. Avec la fin de leur durée d’utilisation en 2030, l’achat de nouveaux avions de combats ainsi qu’une modernisation du système de défense sol-air ont été décidés au parlement en décembre 2019.

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