Economie centralement planifiée

Une économie centralement planifiée est un système économique qui contraste fortement avec celui de l’économie de marché, largement répandu de nos jours.

Dans une économie centralement planifiée, tous les moyens de production (capital, travail) appartiennent à l’État. Les biens de consommation peuvent cependant être des propriétés privées. Les décisions relevant de la production et de l’affectation des biens est déléguée au responsable budgétaire central. Le plan préétabli uniquement permet de déterminer quel producteur produit quelles marchandises en quelle quantité et qui va les consommer. Par exemple, on calcule exactement combien de kilogrammes de pain par habitant et par an doivent être produits. L’objectif est de mettre en application ce plan préétabli. Par conséquent, une entreprise poursuit sa production exactement aussi longtemps que nécessaire pour atteindre la quantité spécifiée. Dans une économie planifiée simple, les biens sont attribués aux individus par le biais d’un rationnement, par exemple sous forme de coupons alimentaires. Dans une économie planifiée plus développée, ils sont répartis au moyen de politiques de revenus et de prix.

La base idéologique de l’économie centrale planifiée est le socialisme.

Ses défenseurs voient les avantages dans le fait que la production est adaptée à la demande identifiée de biens et que les développements parallèles et la surproduction sont évités par la coordination gouvernementale. Cela signifie que chacun obtient exactement ce dont il a besoin
Les opposants à l’économie planifiée critiquent principalement le fait qu’il est pratiquement impossible de fixer la demande pour tous les biens à l’avance voir même de la déterminer. La propriété des facteurs de production (capital, travail) étant limitée, voire impossible, il n’existe pas de marché pour ces moyens de production et ils n’ont donc pas de prix. Par conséquent, il n’est pas possible de déterminer si un investissement est rentable et contribue à accroître le bien-être matériel de la population. Cela a pour conséquence une mauvaise allocation des moyens de production et donc une perte de prospérité communautaire.

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Dans les cantons de montagne, des moutons ont été dévorés à plusieurs reprises par des loups ces dernières années, ce qui a soulevé des questions sur la biodiversité et la coexistence paci-fique entre les hommes et les animaux. Celles-ci provoquent souvent un clivage entre les cantons de montagne concernés et le Plateau central. Un loup dans la vieille ville de Soleure, d’Aarau ou de Berne ferait presque certainement sensation. Il est donc crucial de clarifier la compétence des cantons dans la régulation des populations, c’est pourquoi une révision partielle a d’abord été discutée.
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Les forces aériennes suisses disposent actuellement de 56 avions de combat. Il s’agit d’ici, plus précisément, de 30 F/A-18 C/D Hornet, qui ont été acquis en 1997. Les 26 F-5 E/F Tiger, qui font partie de la flotte aérienne depuis 1978, sont obsolètes, car ils ne sont que d’un usage limité. Actuellement, tous les 56 avions de combat sont en service pour trois missions principales, la garantie de la souveraineté de l’espace aérien suisse, un service de transport aérien, ainsi que pour observer le trafic aérien quotidien. Avec la fin de leur durée d’utilisation en 2030, l’achat de nouveaux avions de combats ainsi qu’une modernisation du système de défense sol-air ont été décidés au parlement en décembre 2019.

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