Coûts de transaction

Les coûts de transaction sont les frais encourus lors de la négociation, la conclusion et l’exécution d’un contrat. Ils concernent le transfert, c’est-à-dire de la transaction, de droits entre le fournisseur et le demandeur. Les coûts de transaction sont, par exemple :

● Frais de prise de contact : recherche de partenaires contractuels
● Coûts d’acquisition de l’information : comparaison, informations sur les partenaires contractuels
● Coûts de négociation : négociation et rédaction du contrat
● Frais de manutention : transport de marchandise
● Coûts de contrôle : qualité, quantité, ponctualité
● Frais d’avocat
● Coûts d’adaptation

On distingue les coûts de transaction fixes et variables :
Les coûts de transaction fixes sont en général toujours présent, c’est pourquoi on les appelle aussi « coûts irrécupérables », car ils ne peuvent être annulés. Les coûts de transaction variables, en revanche, varient selon la nature et de l’ampleur de la transaction.

Les coûts de transaction jouent un rôle central lorsqu’une entreprise doit décider d’externaliser une activité ou de l’exécuter elle-même. Le niveau des coûts de transaction sur le marché et dans l’entreprise sont décisifs : s’il est plus coûteux pour l’entreprise de se procurer un produit sur le marché par l’intermédiaire d’un fournisseur tiers, il est alors plus intéressant pour elle de le fabriquer elle-même. Inversement, si les coûts de transactions internes sont plus élevés que sur le marché, il est alors plus rentable d’externaliser l’activité.

Exemple à ce propos :
Lorsqu’un producteur suisse de jus d’orange achète des oranges en Floride, aux États-Unis, il doit choisir le fournisseur le plus adapté, négocier en anglais, vérifier la qualité des oranges, etc. Si les frais engendrés par ce processus sont plus élevés que d’ouvrir une plantation d’oranges en Floride ou d’en acheter une déjà existante, le producteur choisira probablement cette deuxième option. Toutes les transactions auront par la suite lieu au sein d’un même groupe plutôt qu’entre deux sociétés différentes.

Dans de nombreux modèles économiques, cependant, on néglige les coûts de transaction pour des raisons de simplicité.

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  1. Votations
Dans les cantons de montagne, des moutons ont été dévorés à plusieurs reprises par des loups ces dernières années, ce qui a soulevé des questions sur la biodiversité et la coexistence paci-fique entre les hommes et les animaux. Celles-ci provoquent souvent un clivage entre les cantons de montagne concernés et le Plateau central. Un loup dans la vieille ville de Soleure, d’Aarau ou de Berne ferait presque certainement sensation. Il est donc crucial de clarifier la compétence des cantons dans la régulation des populations, c’est pourquoi une révision partielle a d’abord été discutée.
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Les forces aériennes suisses disposent actuellement de 56 avions de combat. Il s’agit d’ici, plus précisément, de 30 F/A-18 C/D Hornet, qui ont été acquis en 1997. Les 26 F-5 E/F Tiger, qui font partie de la flotte aérienne depuis 1978, sont obsolètes, car ils ne sont que d’un usage limité. Actuellement, tous les 56 avions de combat sont en service pour trois missions principales, la garantie de la souveraineté de l’espace aérien suisse, un service de transport aérien, ainsi que pour observer le trafic aérien quotidien. Avec la fin de leur durée d’utilisation en 2030, l’achat de nouveaux avions de combats ainsi qu’une modernisation du système de défense sol-air ont été décidés au parlement en décembre 2019.

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