Demande de travail

La demande de travail représente le nombre de travailleurs dont les entreprises ont besoin ou qu’elles veulent embaucher. Le salaire réel (= salaire ajusté en fonction de l’inflation), entre autres, détermine le niveau de la demande de travail. La règle est la suivante : plus le salaire réel est élevé, plus il est coûteux pour les entreprises d’employer de la main-d’œuvre. Ainsi, si le salaire réel est bas, les entreprises sont en général prêtes à embaucher plus de travailleurs que si le salaire réel était élevé. En effet, à salaire réel bas, les entreprises doivent payer leurs employés moins par rapport à leur rendement.

Exemple :
Le prix des produits qu’une entreprise fabrique et vend augmente. Le travail effectué par ses employés prend alors de la valeur pour cette dernière. Si les salaires ne changent pas malgré cette hausse des prix, la main-d’œuvre est alors devenue moins chère. Par conséquent, la demande de travail des entreprises augmentera.

En règle générale, une entreprise embauche tellement de main-d’œuvre que le coût marginal du dernier travailleur embauché correspond à la valeur du produit fabriqué par celui-ci. Si, p. ex., la productivité de la main-d’œuvre augmente, c’est-à-dire qu’elle produit plus dans le même laps de temps, le coût des salaires par produit diminuent pour l’entreprise. Il est donc avantageux pour l’entreprise d’embaucher plus de monde et les salaires vont remonter.
La demande de travail augmente également lorsque le prix des produits augmente mais que les salaires restent constants.

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Dans les cantons de montagne, des moutons ont été dévorés à plusieurs reprises par des loups ces dernières années, ce qui a soulevé des questions sur la biodiversité et la coexistence paci-fique entre les hommes et les animaux. Celles-ci provoquent souvent un clivage entre les cantons de montagne concernés et le Plateau central. Un loup dans la vieille ville de Soleure, d’Aarau ou de Berne ferait presque certainement sensation. Il est donc crucial de clarifier la compétence des cantons dans la régulation des populations, c’est pourquoi une révision partielle a d’abord été discutée.
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