Durabilité

La durabilité, qu’on appelle également le « développement durable », fait référence à la préservation des systèmes écologiques, économiques et sociaux. Ces derniers ne devraient être exploités que dans une mesure où ils peuvent se rétablir (en tenant compte des capacités de production et de récupération). Dans le but que les générations futures puissent encore les utiliser, on devrait même éviter de les exploiter.

Le terme de durabilité est principalement utilisé par rapport aux trois dimensions suivantes :

● La durabilité écologique : l’environnement doit être préservé pour les générations futures, c’est-à-dire qu’on ne doit pas dépasser sa capacité de régénération. En termes de ressources naturelles, il ne faut consommer qu’une quantité qui peut se renouveler au cours de la même période. Les habitats et la biodiversité de la faune et de la flore doivent être préservés.

● Durabilité sociale : maintenir une communauté dans laquelle il vaut la peine de vivre à long terme et à laquelle tous les membres peuvent participer sur un pied d’égalité.

● Durabilité économique : l’économie doit être gérée pour qu’il soit possible d’assurer l’acquisition et la prospérité à long terme.

De nos jours, en particulier dans le domaine de l’utilisation des matières premières naturelles en particulier, le développement durable n’est pas mis en pratique. Notre consommation est massivement supérieure à la capacité de régénération naturelle de la terre.

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Dans les cantons de montagne, des moutons ont été dévorés à plusieurs reprises par des loups ces dernières années, ce qui a soulevé des questions sur la biodiversité et la coexistence paci-fique entre les hommes et les animaux. Celles-ci provoquent souvent un clivage entre les cantons de montagne concernés et le Plateau central. Un loup dans la vieille ville de Soleure, d’Aarau ou de Berne ferait presque certainement sensation. Il est donc crucial de clarifier la compétence des cantons dans la régulation des populations, c’est pourquoi une révision partielle a d’abord été discutée.
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Les forces aériennes suisses disposent actuellement de 56 avions de combat. Il s’agit d’ici, plus précisément, de 30 F/A-18 C/D Hornet, qui ont été acquis en 1997. Les 26 F-5 E/F Tiger, qui font partie de la flotte aérienne depuis 1978, sont obsolètes, car ils ne sont que d’un usage limité. Actuellement, tous les 56 avions de combat sont en service pour trois missions principales, la garantie de la souveraineté de l’espace aérien suisse, un service de transport aérien, ainsi que pour observer le trafic aérien quotidien. Avec la fin de leur durée d’utilisation en 2030, l’achat de nouveaux avions de combats ainsi qu’une modernisation du système de défense sol-air ont été décidés au parlement en décembre 2019.

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