Facteur de production

En matière d’économie, un facteur de production est un apport économique nécessaire à la production de biens. Il peut s’agir d’un apport tant matériel qu’immatériel. En macroéconomie classique, le travail, le capital et les matières premières sont des facteurs de production. Selon le modèle économique, les facteurs de production peuvent être répartis différemment ou de nouveaux facteurs peuvent être introduits. Dans les modèles les plus récents, par exemple, le savoir est souvent cité parmi les nouveaux facteurs de productions.

Exemple d’une boulangerie :
La fabrication du pain nécessite les facteurs de production suivants :
● Travail des employés
● Matières premières, comme la farine, le sucre, le lait, etc.
● Équipement (capital), par exemple les bâtiments, les fours, les mélangeurs, etc.
● Savoir-faire et créativité des boulangers

En matière de gestion d’entreprise, le terme est défini différemment. En 1951, Erich Gutenberg a décrit les facteurs de production opérationnels comme des facteurs de performance. Ce dernier a divisé le facteur travail en différentes parties. La première est le travail de disposition, qui comprend la planification, l’organisation et le contrôle. La deuxième est le travail lié à l’objet, qui englobe tous les travaux effectués sur l’objet (le produit). Les deux autres facteurs économiques sont rebaptisés ressources d’exploitation (dérivé du capital) et matériaux (dérivé des matières premières). Enfin, le facteur de disposition comprend la planification et l’emploi stratégique et opérationnel des facteurs de production. En raison de son immatérialité, ce facteur ne peut être substitué que dans une mesure limitée.

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  1. Votations
Dans les cantons de montagne, des moutons ont été dévorés à plusieurs reprises par des loups ces dernières années, ce qui a soulevé des questions sur la biodiversité et la coexistence paci-fique entre les hommes et les animaux. Celles-ci provoquent souvent un clivage entre les cantons de montagne concernés et le Plateau central. Un loup dans la vieille ville de Soleure, d’Aarau ou de Berne ferait presque certainement sensation. Il est donc crucial de clarifier la compétence des cantons dans la régulation des populations, c’est pourquoi une révision partielle a d’abord été discutée.
  1. Votations
Les forces aériennes suisses disposent actuellement de 56 avions de combat. Il s’agit d’ici, plus précisément, de 30 F/A-18 C/D Hornet, qui ont été acquis en 1997. Les 26 F-5 E/F Tiger, qui font partie de la flotte aérienne depuis 1978, sont obsolètes, car ils ne sont que d’un usage limité. Actuellement, tous les 56 avions de combat sont en service pour trois missions principales, la garantie de la souveraineté de l’espace aérien suisse, un service de transport aérien, ainsi que pour observer le trafic aérien quotidien. Avec la fin de leur durée d’utilisation en 2030, l’achat de nouveaux avions de combats ainsi qu’une modernisation du système de défense sol-air ont été décidés au parlement en décembre 2019.

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