Libéralisation

Par libéralisation on entend l’abolition des réglementations et des interventions étatiques ou sociales. On distingue libéralisation économique et libéralisation politique.

Libéralisation économique
La libéralisation économique supprime les restrictions commerciales. Il peut s’agir, par exemple, d’ouvrir les marchés à d’autres pays, de lever les barrières commerciales comme les droits de douane, de privatiser les entreprises publiques et de réduire les monopoles d’État. L’idée derrière la libéralisation économique est que le marché, tant qu’il ne présente pas de défaillance, génère toujours la meilleure solution, alors que celle de l’État ne peut qu’être équivalente ou plus mauvaise. Ce point de vue est soutenu par les partis bourgeois, tandis que les milieux syndicaux s’opposent à une libéralisation économique progressive, arguant que les droits des travailleurs seront alors bafoués en faveur d’entreprises privées qui cherchent à maximiser leurs profits.

Libéralisation politique
La libéralisation politique consiste à donner plus de droits et de libertés à chaque citoyen. Il s’agit d’assouplir certaines dispositions du droit pénal. On utilise souvent ce terme, par exemple, par rapport à la politique en matière de drogue, où il fait référence à la légalisation ou à la décriminalisation de certaines drogues.

Neuste Artikel

  1. Votations
Dans les cantons de montagne, des moutons ont été dévorés à plusieurs reprises par des loups ces dernières années, ce qui a soulevé des questions sur la biodiversité et la coexistence paci-fique entre les hommes et les animaux. Celles-ci provoquent souvent un clivage entre les cantons de montagne concernés et le Plateau central. Un loup dans la vieille ville de Soleure, d’Aarau ou de Berne ferait presque certainement sensation. Il est donc crucial de clarifier la compétence des cantons dans la régulation des populations, c’est pourquoi une révision partielle a d’abord été discutée.
  1. Votations
Les forces aériennes suisses disposent actuellement de 56 avions de combat. Il s’agit d’ici, plus précisément, de 30 F/A-18 C/D Hornet, qui ont été acquis en 1997. Les 26 F-5 E/F Tiger, qui font partie de la flotte aérienne depuis 1978, sont obsolètes, car ils ne sont que d’un usage limité. Actuellement, tous les 56 avions de combat sont en service pour trois missions principales, la garantie de la souveraineté de l’espace aérien suisse, un service de transport aérien, ainsi que pour observer le trafic aérien quotidien. Avec la fin de leur durée d’utilisation en 2030, l’achat de nouveaux avions de combats ainsi qu’une modernisation du système de défense sol-air ont été décidés au parlement en décembre 2019.

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