Offre de travail

L’ensemble de la population en âge de travailler qui souhaite le faire constitue l’offre de travail. Il faut la distinguer du potentiel de main d’œuvre. Celui-ci inclut toutes les personnes en âge de travailler, y compris celles qui ne souhaitent pas le faire. On calcule l’offre de travail réelle en lui soustrayant les personnes en formation, celles qui bénéficient d’une retraite anticipée ou celles qui ne sont pas en mesure de travailler pour d’autres raisons.
Les employés sont donc les fournisseurs du travail, un facteur de production recherché par les entreprises. Comme pour tous les types d’offre, plus le prix du marché est élevé (dans ce cas, le salaire), plus l’offre est élevée. Par conséquent, si les salaires augmentent, un plus grand nombre de personnes entreront sur le marché du travail. On peut expliquer cela par le fait que certains individus décident de travailler plus longtemps (en effectuant des heures supplémentaires ou en travaillant à plein temps plutôt qu’à temps partiel), que d’autres prennent leur retraite plus tard ou continuent à travailler après l’âge de la retraite, que les deux conjoints d’un couple sont plus susceptible de travailler ou que le temps de formation diminue parce qu’il est moins avantageux de suivre une année de formation supplémentaire lorsque les salaires sont élevés.

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Dans les cantons de montagne, des moutons ont été dévorés à plusieurs reprises par des loups ces dernières années, ce qui a soulevé des questions sur la biodiversité et la coexistence paci-fique entre les hommes et les animaux. Celles-ci provoquent souvent un clivage entre les cantons de montagne concernés et le Plateau central. Un loup dans la vieille ville de Soleure, d’Aarau ou de Berne ferait presque certainement sensation. Il est donc crucial de clarifier la compétence des cantons dans la régulation des populations, c’est pourquoi une révision partielle a d’abord été discutée.
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Les forces aériennes suisses disposent actuellement de 56 avions de combat. Il s’agit d’ici, plus précisément, de 30 F/A-18 C/D Hornet, qui ont été acquis en 1997. Les 26 F-5 E/F Tiger, qui font partie de la flotte aérienne depuis 1978, sont obsolètes, car ils ne sont que d’un usage limité. Actuellement, tous les 56 avions de combat sont en service pour trois missions principales, la garantie de la souveraineté de l’espace aérien suisse, un service de transport aérien, ainsi que pour observer le trafic aérien quotidien. Avec la fin de leur durée d’utilisation en 2030, l’achat de nouveaux avions de combats ainsi qu’une modernisation du système de défense sol-air ont été décidés au parlement en décembre 2019.

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