Pouvoir d’achat

Le pouvoir d’achat représente la quantité de biens qui peut être échangée ou consommée avec une certaine quantité d’argent. Le pouvoir d’achat de 1 CHF, par exemple, diminue constamment à cause de l’inflation. En d’autres termes, si l’on pouvait acheter 3 miches de pain 1 CHF par le passé, c’est aujourd’hui à peine suffisant pour en acheter une.
On parle donc toujours de croissance nominale et de croissance réelle. La croissance nominale fait référence à la somme d’argent et la croissance réelle au pouvoir d’achat effectif.
L’inflation, et ainsi le pouvoir d’achat, est mesurée sur la base du prix d’un panier d’achat représentatif qui est déterminé mensuellement par l’Office fédéral de la statistique. Ce panier correspond exactement à la consommation d’un Suisse moyen par année.

Exemple :
Si un employé gagne aujourd’hui 5 000 CHF par mois et qu’il reçoit une augmentation de salaire de 10 % au bout d’une année, on parle d’une augmentation nominale de 10 %. Cependant, si dans le même temps on mesure 3 % d’inflation, cet individu ne pourra en réalité acheter que 7 % de plus qu’avant avec son nouveau salaire. Cela signifie que l’augmentation réelle de son salaire, c’est-à-dire corrigée en fonction du pouvoir d’achat ou de l’inflation, n’est que de 7 %. Les concepts « corrigé en fonction de l’inflation » et « corrigé en fonction » du pouvoir d’achat sont donc identiques.

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  1. Votations
Dans les cantons de montagne, des moutons ont été dévorés à plusieurs reprises par des loups ces dernières années, ce qui a soulevé des questions sur la biodiversité et la coexistence paci-fique entre les hommes et les animaux. Celles-ci provoquent souvent un clivage entre les cantons de montagne concernés et le Plateau central. Un loup dans la vieille ville de Soleure, d’Aarau ou de Berne ferait presque certainement sensation. Il est donc crucial de clarifier la compétence des cantons dans la régulation des populations, c’est pourquoi une révision partielle a d’abord été discutée.
  1. Votations
Les forces aériennes suisses disposent actuellement de 56 avions de combat. Il s’agit d’ici, plus précisément, de 30 F/A-18 C/D Hornet, qui ont été acquis en 1997. Les 26 F-5 E/F Tiger, qui font partie de la flotte aérienne depuis 1978, sont obsolètes, car ils ne sont que d’un usage limité. Actuellement, tous les 56 avions de combat sont en service pour trois missions principales, la garantie de la souveraineté de l’espace aérien suisse, un service de transport aérien, ainsi que pour observer le trafic aérien quotidien. Avec la fin de leur durée d’utilisation en 2030, l’achat de nouveaux avions de combats ainsi qu’une modernisation du système de défense sol-air ont été décidés au parlement en décembre 2019.

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