Surplus du consommateur

Le surplus du consommateur sert à mesurer le bien-être ou les avantages des consommateurs.
On calcule le surplus du consommateur à partir du bénéfice de l’acheteur (exprimé en unités monétaires) moins le prix qu’il a payé (prix du marché). Il correspond donc au bien-être du consommateur. Sur le graphique, le surplus du consommateur correspond à l’aire entre la courbe de demande et le prix d’un bien. Si le prix du bien (prix d’équilibre) baisse, le surplus du consommateur augmente. S’il augmente, le surplus du consommateur diminue.

Exemple :
Si Anna est prête à payer 5 CHF pour une miche de pain (bénéfice), mais qu’elle ne coûte que 3 CHF, elle bénéficie d’un surplus du consommateur (« gain », bénéfice net) de 2 CHF
Le surplus du consommateur de l’ensemble des demandeurs est calculé comme suit :
Le surplus du consommateur correspond au triangle entre la courbe de demande et le prix d’un bien (ici, le pain). Sur le graphique ci-dessous, la demande de pain passe d’une quantité de 0 lorsque le prix du pain est de 6 CHF à une demande d’une quantité de 60 miches lorsque que le prix du pain est à 0 CHF Le prix d’équilibre de cet exemple est situé à 3 CHF.
Pour calculer le surplus du consommateur, on imagine une ligne horizontale à hauteur de 3 CHF, qui coupe la courbe de demande exactement au niveau d’une quantité de 30 pains.
La zone (triangle) rouge ainsi démarquée, qui se situe au-dessus de la ligne horizontale à 3 CHF et au-dessous de la courbe de demande agrégée (c’est-à-dire entre 6 et 3 CHF et entre 0 et 30 pains), représente le « surplus du consommateur ». Ici, il est égal à 30 * (6 – 3) / 2 = 45 CHF.

Neuste Artikel

  1. Votations
Dans les cantons de montagne, des moutons ont été dévorés à plusieurs reprises par des loups ces dernières années, ce qui a soulevé des questions sur la biodiversité et la coexistence paci-fique entre les hommes et les animaux. Celles-ci provoquent souvent un clivage entre les cantons de montagne concernés et le Plateau central. Un loup dans la vieille ville de Soleure, d’Aarau ou de Berne ferait presque certainement sensation. Il est donc crucial de clarifier la compétence des cantons dans la régulation des populations, c’est pourquoi une révision partielle a d’abord été discutée.
  1. Votations
Les forces aériennes suisses disposent actuellement de 56 avions de combat. Il s’agit d’ici, plus précisément, de 30 F/A-18 C/D Hornet, qui ont été acquis en 1997. Les 26 F-5 E/F Tiger, qui font partie de la flotte aérienne depuis 1978, sont obsolètes, car ils ne sont que d’un usage limité. Actuellement, tous les 56 avions de combat sont en service pour trois missions principales, la garantie de la souveraineté de l’espace aérien suisse, un service de transport aérien, ainsi que pour observer le trafic aérien quotidien. Avec la fin de leur durée d’utilisation en 2030, l’achat de nouveaux avions de combats ainsi qu’une modernisation du système de défense sol-air ont été décidés au parlement en décembre 2019.

Bleiben Sie informiert

Neuste Diskussionen

Willkommen bei Vimentis
Werden auch Sie Mitglied der grössten Schweizer Politik Community mit mehr als 200'000 Mitgliedern
Tretten Sie Vimentis bei

En vous inscrivant, vous acceptez notre directives pour les blogs