Valeur ajoutée

La valeur ajoutée permet de mesurer le rendement d’une activité économique en examinant la différence entre la performance d’une entité économique (p. ex. l’économie nationale dans son ensemble, une entreprise ou un processus individuel de prestations) et la consommation intermédiaire nécessaire à sa production.

En bref : valeur ajoutée = rendement – consommation intermédiaire, où
rendement = valeur du produit fini et consommation intermédiaire = biens et services acquis pour être utilisés dans le processus de fourniture des prestations (comme la production) (p. ex. des matériaux ou des prestations de service)

La valeur ajoutée d’une entreprise est donc égale à son chiffre d’affaires total moins les biens qu’elle a acquis, c’est-à-dire qu’elle n’a pas produits elle-même.

Exemple :
La valeur ajoutée d’une menuiserie est égale au chiffre d’affaires des meubles qu’elle a vendus moins les coûts générés par le bois qu’elle a utilisé (prix des meubles à l’unité x quantité de meubles produits – coûts du bois).

En général, une grande partie de la valeur ajoutée est versée aux employés sous forme de salaires et une autre grande partie aux propriétaires ou aux investisseurs sous forme de bénéfices.

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  1. Votations
Dans les cantons de montagne, des moutons ont été dévorés à plusieurs reprises par des loups ces dernières années, ce qui a soulevé des questions sur la biodiversité et la coexistence paci-fique entre les hommes et les animaux. Celles-ci provoquent souvent un clivage entre les cantons de montagne concernés et le Plateau central. Un loup dans la vieille ville de Soleure, d’Aarau ou de Berne ferait presque certainement sensation. Il est donc crucial de clarifier la compétence des cantons dans la régulation des populations, c’est pourquoi une révision partielle a d’abord été discutée.
  1. Votations
Les forces aériennes suisses disposent actuellement de 56 avions de combat. Il s’agit d’ici, plus précisément, de 30 F/A-18 C/D Hornet, qui ont été acquis en 1997. Les 26 F-5 E/F Tiger, qui font partie de la flotte aérienne depuis 1978, sont obsolètes, car ils ne sont que d’un usage limité. Actuellement, tous les 56 avions de combat sont en service pour trois missions principales, la garantie de la souveraineté de l’espace aérien suisse, un service de transport aérien, ainsi que pour observer le trafic aérien quotidien. Avec la fin de leur durée d’utilisation en 2030, l’achat de nouveaux avions de combats ainsi qu’une modernisation du système de défense sol-air ont été décidés au parlement en décembre 2019.

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