Impôt par tête

L’impôt par tête est un impôt qui doit être payée par tout individu, quel que soit son revenu, sa fortune ou ses autres caractéristiques personnelles.

L’impôt par tête a l’avantage d’être la plus efficace de toutes les formes de taxe. D’une part, les incitations à l’activité économique ne sont pas faussées, car le montant de l’impôt est toujours le même quelles que soient les caractéristiques et les décisions individuelles. D’autre part, en raison de sa simplicité, l’impôt par tête est associé à un faible fardeau administratif pour les contribuables et les autorités fiscales.
L’inconvénient de l’impôt par tête, cependant, est qu’il exige une contribution d’exactement le même montant absolu de la part de toutes les couches de la population, sans faire de distinction selon la capacité financière. Par conséquent, la charge fiscale relative est plus élevée pour les personnes à faible revenu que pour les personnes à revenu élevé. Il est donc souvent critiqué comme étant injuste sur le plan social.

En Suisse, ce qu’on appelle l’« impôt sur le personnel », qui est prélevé par les communes dans certains cantons, est un exemple d’impôt par tête. On le justifie en arguant que chacun bénéficie des prestations de l’État et devrait donc aussi y apporter une contribution symbolique. Ce montant se situe généralement entre 10 et 50 CHF.

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Dans les cantons de montagne, des moutons ont été dévorés à plusieurs reprises par des loups ces dernières années, ce qui a soulevé des questions sur la biodiversité et la coexistence paci-fique entre les hommes et les animaux. Celles-ci provoquent souvent un clivage entre les cantons de montagne concernés et le Plateau central. Un loup dans la vieille ville de Soleure, d’Aarau ou de Berne ferait presque certainement sensation. Il est donc crucial de clarifier la compétence des cantons dans la régulation des populations, c’est pourquoi une révision partielle a d’abord été discutée.
  1. Votations
Les forces aériennes suisses disposent actuellement de 56 avions de combat. Il s’agit d’ici, plus précisément, de 30 F/A-18 C/D Hornet, qui ont été acquis en 1997. Les 26 F-5 E/F Tiger, qui font partie de la flotte aérienne depuis 1978, sont obsolètes, car ils ne sont que d’un usage limité. Actuellement, tous les 56 avions de combat sont en service pour trois missions principales, la garantie de la souveraineté de l’espace aérien suisse, un service de transport aérien, ainsi que pour observer le trafic aérien quotidien. Avec la fin de leur durée d’utilisation en 2030, l’achat de nouveaux avions de combats ainsi qu’une modernisation du système de défense sol-air ont été décidés au parlement en décembre 2019.

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