Indice des prix à la production (IPP)

L’indice des prix à la production (IPP) permet de mesurer les variations de prix des produits fabriqués sur le marché intérieur et vendus au sortir de l’usine.

L’indice des prix à la production comprend le prix des matières premières, des produits semi-finis, des biens de consommation et des biens d’équipement. Dans certains pays, il est également indiqué sans les matières premières, les produits semi-finis et les produits finis. L’indice comprend le secteur primaire, le secteur secondaire, le transport de marchandises et les prix de la construction dans le secteur tertiaire.
Selon l’indice national des prix à la consommation, la pondération des différents biens est déterminée sur la base d’un panier. Le niveau de prix des biens pondérées est défini à 100 points selon l’année choisie comme année de base. Les variations de prix des années suivantes sont indiquées avec la même pondération en points d’indice, c’est-à-dire en pourcentage de variation par rapport à 100 points. Le graphique suivant indique l’indice suisse des prix à la production de ces dernières années.

Comme les coûts de production sont généralement répercutés sur les prix à la consommation, l’indice des prix à la production est un indicateur important pour prédire l’indice national des prix à la consommation.

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Dans les cantons de montagne, des moutons ont été dévorés à plusieurs reprises par des loups ces dernières années, ce qui a soulevé des questions sur la biodiversité et la coexistence paci-fique entre les hommes et les animaux. Celles-ci provoquent souvent un clivage entre les cantons de montagne concernés et le Plateau central. Un loup dans la vieille ville de Soleure, d’Aarau ou de Berne ferait presque certainement sensation. Il est donc crucial de clarifier la compétence des cantons dans la régulation des populations, c’est pourquoi une révision partielle a d’abord été discutée.
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Les forces aériennes suisses disposent actuellement de 56 avions de combat. Il s’agit d’ici, plus précisément, de 30 F/A-18 C/D Hornet, qui ont été acquis en 1997. Les 26 F-5 E/F Tiger, qui font partie de la flotte aérienne depuis 1978, sont obsolètes, car ils ne sont que d’un usage limité. Actuellement, tous les 56 avions de combat sont en service pour trois missions principales, la garantie de la souveraineté de l’espace aérien suisse, un service de transport aérien, ainsi que pour observer le trafic aérien quotidien. Avec la fin de leur durée d’utilisation en 2030, l’achat de nouveaux avions de combats ainsi qu’une modernisation du système de défense sol-air ont été décidés au parlement en décembre 2019.

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