Indirectement progressif

On dit qu’un taux d’imposition est indirectement progressif (taux d’imposition moyens croissants) lorsque la structure tarifaire est telle que chaque revenu imposable est soumis au même taux d’imposition (structure tarifaire proportionnelle), mais qu’il existe une franchise qui provoque l’augmentation du taux moyen d’imposition.

Exemple :
Une personne A dispose d’un revenu de 50 000 CHF et une personne B d’un revenu de 100 000 CHF. La première peut désormais déduire une franchise de 30 000 CHF de son revenu. Il reste donc 20 000 CHF imposables à 25 %, ce qui correspond à un montant de 5 000 CHF (20 000 x 25 / 100). Dans ce cas, le taux d’imposition moyen est donc de 10 % (5 000 / 50 000). Sur le revenu de 100 000 CHF de la personne B, c’est 70 000 CHF qui sont imposables (100 000 – 30 000) à 25 %, ce qui correspond à un montant de 17 500 CHF (70 000 x 25 / 100). Cette fois, le taux d’imposition moyen s’élève à 17,5 % (17 500 / 100 000). La personne B est donc soumise à un taux d’imposition moyen plus élevé sur son revenu plus élevé malgré une structure tarifaire proportionnelle, ce qu’on appelle un système d’imposition progressive indirecte.

Neuste Artikel

  1. Votations
Dans les cantons de montagne, des moutons ont été dévorés à plusieurs reprises par des loups ces dernières années, ce qui a soulevé des questions sur la biodiversité et la coexistence paci-fique entre les hommes et les animaux. Celles-ci provoquent souvent un clivage entre les cantons de montagne concernés et le Plateau central. Un loup dans la vieille ville de Soleure, d’Aarau ou de Berne ferait presque certainement sensation. Il est donc crucial de clarifier la compétence des cantons dans la régulation des populations, c’est pourquoi une révision partielle a d’abord été discutée.
  1. Votations
Les forces aériennes suisses disposent actuellement de 56 avions de combat. Il s’agit d’ici, plus précisément, de 30 F/A-18 C/D Hornet, qui ont été acquis en 1997. Les 26 F-5 E/F Tiger, qui font partie de la flotte aérienne depuis 1978, sont obsolètes, car ils ne sont que d’un usage limité. Actuellement, tous les 56 avions de combat sont en service pour trois missions principales, la garantie de la souveraineté de l’espace aérien suisse, un service de transport aérien, ainsi que pour observer le trafic aérien quotidien. Avec la fin de leur durée d’utilisation en 2030, l’achat de nouveaux avions de combats ainsi qu’une modernisation du système de défense sol-air ont été décidés au parlement en décembre 2019.

Bleiben Sie informiert

Neuste Diskussionen

Willkommen bei Vimentis
Werden auch Sie Mitglied der grössten Schweizer Politik Community mit mehr als 200'000 Mitgliedern
Tretten Sie Vimentis bei

En vous inscrivant, vous acceptez notre directives pour les blogs