Impôt indirect

En matière d’impôts, on distingue les impôts directs et les impôts indirects.
Pour faire la distinction entre les deux, on peut appliquer différentes approches qui mènent chacune à des conclusions légèrement différentes. Cette entrée se concentre sur une approche générale. Dans ce cas, on base la définition sur le rapport entre le sujet fiscal et le contribuable. Si la personne ou l’institution qui doit financer un impôt (= sujet fiscal) paie cet impôt elle-même (= contribuable), il s’agit d’un impôt direct. C’est le cas, par exemple, de l’impôt sur le revenu.
L’impôt indirect est conçu différemment : la personne soumise à l’impôt (= sujet fiscal) n’est pas celle qui paie un prélèvement direct sous forme d’impôts. Dans ce cas, ce n’est donc pas elle le contribuable. En effet, une institution distincte doit payer l’impôt directement. C’est elle qu’on appelle le contribuable. Pour financer cette charge fiscale supplémentaire, elle va facturer un montant un peu plus élevé pour ses produits ou ses services. Par conséquent, ce sont ses clients, qui paient maintenant plus cher pour certains de ses produits, qui font office de contribuables. Ils paient des impôts indirectement par le biais de ces prix plus élevés, c’est-à-dire qu’ils paient des impôts indirects. La TVA, les droits de douane, l’impôt sur le tabac ou les droits de succession en sont des exemples typiques.

Neuste Artikel

  1. Votations
Dans les cantons de montagne, des moutons ont été dévorés à plusieurs reprises par des loups ces dernières années, ce qui a soulevé des questions sur la biodiversité et la coexistence paci-fique entre les hommes et les animaux. Celles-ci provoquent souvent un clivage entre les cantons de montagne concernés et le Plateau central. Un loup dans la vieille ville de Soleure, d’Aarau ou de Berne ferait presque certainement sensation. Il est donc crucial de clarifier la compétence des cantons dans la régulation des populations, c’est pourquoi une révision partielle a d’abord été discutée.
  1. Votations
Les forces aériennes suisses disposent actuellement de 56 avions de combat. Il s’agit d’ici, plus précisément, de 30 F/A-18 C/D Hornet, qui ont été acquis en 1997. Les 26 F-5 E/F Tiger, qui font partie de la flotte aérienne depuis 1978, sont obsolètes, car ils ne sont que d’un usage limité. Actuellement, tous les 56 avions de combat sont en service pour trois missions principales, la garantie de la souveraineté de l’espace aérien suisse, un service de transport aérien, ainsi que pour observer le trafic aérien quotidien. Avec la fin de leur durée d’utilisation en 2030, l’achat de nouveaux avions de combats ainsi qu’une modernisation du système de défense sol-air ont été décidés au parlement en décembre 2019.

Bleiben Sie informiert

Neuste Diskussionen

Willkommen bei Vimentis
Werden auch Sie Mitglied der grössten Schweizer Politik Community mit mehr als 200'000 Mitgliedern
Tretten Sie Vimentis bei

En vous inscrivant, vous acceptez notre directives pour les blogs