Selon la doctrine néoclassique, la prospérité d’un pays est déterminée par sa productivité. Plus la productivité est élevée, plus le rendement des investissements l’est aussi. Les économies ouvertes permettent aux pays développés d’investir dans les pays en développement. Elles le font par exemple sous forme de centres de production, d’ouverture de chaînes de supermarchés ou de placements de matières premières. De cette manière, des capitaux, des biens d’équipement et du personnel affluent vers les pays en développement, où le potentiel de croissance n’a pas encore été épuisé. En d’autres termes, on investit là où cela rapporte le plus. La théorie néoclassique suppose à travers l’ouverture des marchés, les pays les moins développés rattraperont les pays avancés grâce à une forte croissance économique. Après cette phase prévue de forte croissance, la théorie prédit que le flux de marchandises va s’inverser et que les pays en développement alors plus avancés vont investir davantage dans les pays développés.
G2 serait nécessaire, mais: Au moment, juridiquement, une obligation pour toute la population de se faire vacciner est exclue. La…