Aide sociale

L’aide sociale, ou assistance sociale, garantit l’existence aux personnes dans le besoin. Elle soutient les pauvres et les aide à atteindre (ou retrouver) l’indépendance économique et personnelle. L’assistance sociale assume également des tâches dans le domaine de l’intégration sociale et professionnelle.
Le droit à l’aide sociale est garanti par la Constitution fédérale, mais il relève de la compétence des cantons. Les individus disposant d’un revenu inférieur au minimum vital reçoivent de l’aide. Les moyens nécessaires pour assurer une vie digne sont alors mis à disposition. Un des principes fondamentaux de l’aide sociale est qu’elle intervient indépendamment des causes ayant conduit à la situation critique.

En principe, chaque canton peut définir lui-même où se situe le minimum vital et quel doit être le montant de la subvention. Cependant, la plupart des cantons suivent les normes de la Conférence suisse des institutions d’action sociale (CSIAS).

L’aide sociale est financée par des moyens fiscaux publics, et non pas par des pourcentages pris sur les salaires. Les prestations de l’aide sociale sont nettement inférieures aux salaires minimaux pour autant que ceux-ci soient fixés juridiquement. Cela part du principe que : « le travail doit être récompensé ».
La plupart des cantons connaissent une obligation de remboursement des prestations de l’aide sociale. Cette obligation devient effective en cas d’entrée en possession d’une fortune relativement importante (héritage, gains de loterie), en cas de retour à des conditions financières aisées, mais également en cas d’obtention illégale de prestations.

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  1. Votations
Dans les cantons de montagne, des moutons ont été dévorés à plusieurs reprises par des loups ces dernières années, ce qui a soulevé des questions sur la biodiversité et la coexistence paci-fique entre les hommes et les animaux. Celles-ci provoquent souvent un clivage entre les cantons de montagne concernés et le Plateau central. Un loup dans la vieille ville de Soleure, d’Aarau ou de Berne ferait presque certainement sensation. Il est donc crucial de clarifier la compétence des cantons dans la régulation des populations, c’est pourquoi une révision partielle a d’abord été discutée.
  1. Votations
Les forces aériennes suisses disposent actuellement de 56 avions de combat. Il s’agit d’ici, plus précisément, de 30 F/A-18 C/D Hornet, qui ont été acquis en 1997. Les 26 F-5 E/F Tiger, qui font partie de la flotte aérienne depuis 1978, sont obsolètes, car ils ne sont que d’un usage limité. Actuellement, tous les 56 avions de combat sont en service pour trois missions principales, la garantie de la souveraineté de l’espace aérien suisse, un service de transport aérien, ainsi que pour observer le trafic aérien quotidien. Avec la fin de leur durée d’utilisation en 2030, l’achat de nouveaux avions de combats ainsi qu’une modernisation du système de défense sol-air ont été décidés au parlement en décembre 2019.

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