Aujourd’hui un certain nombre de bénéficiaires de l’AI avec difficultés psychiques vivent cantonnés dans un appartement, sans activité et en dehors de toute structure telles les ateliers protégés. Cet état de fait ne participe pas à l’amélioration de la santé ni à la dignité des assurés qui la plupart du temps tournent en rond et perdent leur sens de la vie.
Bien qu’il en existe déjà, nous devons absolument d’une part développer des structures d’occupation et d’intégration ou ateliers protégés qui peuvent proposer un travail simple, mais utile, par exemple le nettoyage des forêts, la participation à des jardins communautaires. Cela permettrait à plusieurs de recréer un lien social et de se sentir utiles, sentiment indispensable à la dignité humaine.
Le manque de réseau entre les opérateurs médico-sociaux ne favorise malheureusement pas le suivi dans ce domaine, chacun travaillant dans sa discipline. Les structures psychiatriques ont souvent des occupations à proposer, mais quand les gens rentrent chez eux. c’est le désert….
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