Il y a un an, j’ai pris la décision de ne plus avoir de voiture afin d’apporter ma pierre à l’édifice à la lutte contre la pollution et au réchauffement climatique et de mettre fin au coût disproportionné d’avoir une voiture par rapport à l’utilisation que j’en faisais. Il n’empêche que malgré ces deux excellentes raisons, je craignais tout de même une certaine perte de « liberté ».

Un an plus tard, c’est en fait le sentiment contraire qui m’habite. Finies les contraintes que m’imposaient la voiture : changer les pneus, aller chez le garagiste, passer la visite, payer l’assurance, l’impôt et la vignette, chercher une place introuvable, perdre son temps durant les trajets, etc.

Certes, mes conditions de vie ont rendu ce choix plus facile que pour d’autres : j’habite en ville où les transports publics sont efficaces, je me rends à mon lieu de travail à vélo et je n’ai pas d’enfants en bas âge. Et pour être totalement transparent, j’ai aussi pu au cours de ces douze derniers mois emprunter à cinq reprises la voiture d’une amie et profiter le même nombre de fois du co-voiturage.

Loin de moi donc l’idée de faire la leçon à qui que ce soit, mais de faire réfléchir sur l’utilité d’avoir sa propre voiture. Le réchauffement climatique n’est plus à démontrer. Toutes les initiatives individuelles ont leur importance pour limiter au maximum les conséquences néfastes de ce réchauffement.

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